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KristeletPierre.over-blog.com

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Retrouvez mon univers littéraire et musical : mes humeurs, mes coups de gueule, des infos sur mes romans (Kristel, Martin). Et de temps en temps, une photo.


Mes restaurants de Lisbonne

Publié par Régis Pinguet sur 10 Mai 2016, 22:50pm

Catégories : #littérature

Bonjour à tous.

Mes Restaurants à Lisbonne.

Remarque préliminaire : les restaurants suivis d’un (R) sont dans le guide du Routard.

Alors voilà, arrivé le dimanche vers13h à l’hôtel, la recherche d’un restaurant s’impose pour compenser le sandwich très moyen de la TAP. Dimanche, n’est-ce pas, et le guide du routard annonce plein de restaurants fermés. Alors vers 13h30, nous prenons le premier venu, un restaurant italien dans Bairro Alto près de la Rua da Rosa, la honte, mais qui sert d’excellents poissons. Je suis pardonné. Carpaccio de poulpe et poisson grillé au menu. Nous allons faire nettement mieux le soir avec « A GINA » (R), typiquement portugais, entrée du patron à base de pata negra (espagnol…) et fromage à croute orange (le meilleur), suivi d’une énorme brochette verticale de calamar grillé accompagné de patates (spécialité locale comme la morue) mais aussi de légumes verts. Nous commençons à comprendre que les portions sont monstrueuses. Très bon restaurant, mais au service totalement débordé, un chasseur ramenant les touristes par wagons. Il a vraiment fallu insister pour payer.

Lundi midi, en revenant du tram 28, un petit restaurant au milieu d’une rue en escalier nous attire. Une entrée pour deux, et ensuite mixte grill poisson et viandes. Le poisson : 4 dans une assiette. Ben voyons ! Délicieux, mais la viande est trop cuite, spécialité locale apparemment Heureusement, Lisbonne est une ville où l’on marche beaucoup. Le soir, nous dînons dans le bas de la ville au restaurant « FIDALGO », dans la rue. Excellent thon avec oignons, légumes verts, et… patates. Très bon choix de vins, du pays bien sûr.

Mardi toujours sous le soleil, nous filons à Belem, son monastère de Jeronimos et sa tour. Après tant de marches grimpées et descendues, une petite faim nous guette, alors nous allons chez « Jeronimos » (R). Le patron super sympa parle français et nous incite à demander du rab ! Très bon repas avec un verre de vin blanc gouleyant. Et après, dégustation de pasteïs du grand spécialiste juste à côté ! On rentre à pied ? Non, on prend le tram, autre spécialité locale.

Changement de décor le soir, nous allons à « Cervejaria da trinidade » (R) dans Bairo Alto. Ce restaurant est situé dans un ancien couvent, avec plusieurs salles en enfilade. La première est très monacale : grande table, et bancs… Ensuite, une vraie salle de restaurant avec de petites tables. Des fresques au mur, un serveur déguisé en moine … Très bon repas, même si certains plats semblent préparés à l’avance, comme mon tourteau en entrée. Par contre, le steak à la portugaise était parfait ! Le lieu est inoubliable. ¨Pour moi, un endroit incontournable.

Comme le temps est toujours au beau fixe le mercredi, nous prenons le train pour Cintra. Jolie ville bourrée de touristes. Oui, j’en suis un aussi. Face à l’affluence sur les terrasses, nous choisissons une « cantine », un restaurant self en sous-sol. 8,5€ le menu, tout à volonté ! Nous nous sommes gavés de crudités, et de plats simples. Le soir, nous avions envie d’écouter du Fado sans se coucher à pas d’heure. Nous sommes allés à « Leao d’Ouro » (R) près de la gare de Rossio. Ouais… D’abord nous avons eu une table à 21h30 faute d’avoir réservé, et ensuite la chanteuse a fait des prestations de moins de 30 minutes… Heureusement, le poisson (eh oui) était très bon et frais.

Jeudi, il pleut, alors nous filons au centre océanographique. Après la visite, nous nous installons au hasard dans l’un des restaurants de cette zone touristique. Nous prenons une entrée de crudités et un plat de 4 préparations différentes de morue. Un plaisir. Le soir, après un apéro avec Jean-François maintenant installé à Lisbonne, nous retournons au restaurant « Fidalgo » (R). La cuisine est toujours bonne, même si la viande trop cuite, le vin aussi ! Mais c’est incroyable ce que l’on parle français dans les restaurants Lisboates !

Vendredi, l’heure du départ approche et la pluie tombe vers midi. Nous nous réfugions au musée de la bière (R), blindé. Heureusement une table nous tend les bras, loin des deux petites connes qui réservent pour 6 alors que leurs « amies » ne viendront jamais.

Repas au retour dans l’avion de la TAP. Je préfère ne pas commenter.

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